Diaporama des hameaux.
LA CHANSON DE LONGESSAIGNE
chanson composée par le curé Dupin à l'occasion des représentations théâtrales des jeunes filles le dernier dimanche de novembre et le premier dimanche de décembre en 1952 ou 1953
Ensemble, amis, chantons notre beau Longessaigne (bis)
Chantons à perdre haleine
Ce pays que nous aimons
Blotti près d'un vallon
Là-haut dessus les monts
Un jour, si vous passez dans ce charmant village (bis)
Vous aimerez, je gage,
Son bourg comme ses hameaux
Epars sur nos coteaux
Voyez comme ils sont beaux !
Leurs noms sont si divers ! Voulez-vous les connaître (bis)
Noms de leurs anciens maîtres
Souvenir du bon vieux temps
Gardés depuis longtemps
Par nos braves gens
Le Canet, le Rocher, le Vire, la Flachère (bis)
Dressent dans la lumière
Dans leur vert écrin joli
L'orgueilleux Molagy
Dominant tout ici
La Paissé, le Filleul, conduisent à la Roche (bis)
Sans peur et sans reproches
Y vécurent autrefois
Les Seigneurs de l'endroit
Célèbres, justes, droits
De la Mure aux Auberges et à la Demi-Lune (bis)
Une halte opportune
Vous y peut désaltérer
Si vous êtes essoufflés
Après la dur'montée.
Caché dans son vallon, admirez l'Arquillère (bis)
Et tout près l'Ollivière
Il ferait si bon flâner
Et s'aller promener
Au milieu de leurs prés.
Les Combes, le Planud sont au pied de la Brosse (bis)
En un coin tout en bosses
Aimé des petits lapins
Folâtrant au matin
Tout près des grans sapins
Sauriez-vous trouver le Prou, la Mazalière (bis)
Ils sont si solitaires
Cachés par la GrandéMaison
Tout là-bas, tout au fond
Dans un calme profond
Bien vite, revenons au quartier de la Plaine (bis)
Une histoire incertaine
Prétend qu'ici se trouvait
Vers l'an mil, il paraît,
L'église et son clocher
Crêt-Midon, le Thuinard, le Parrier et les Combes (bis)
Le Verne dans sa Combe
Au soleil ou sous le vent
Sont des coins reposants
Là-bas vers Saint Clément.
De chez Goût au Suyer la vallée se prolonge (bis)
Et jusqu'à la Collonge
Par-dessous la Brigadée,
Il faut bien s'y veiller
Pour ne pas s'égarer
Ce n'est pas pour s'asseoir que nous avons la Chaize (bis)
Ni pour prendre des aises
Qu'on habite au Dalbeiron,
Ou encore au Drivon
N'est-c'pas ceux qui y sont ?
Pluie, neige, bise ou vent, jamais rien ne l'arrête (bis)
Quand souffle la tempête
Au chemin de Champcolan,
Mais quel que soit le temps
L'ont est toujours contents
Pour aller jusqu'au Sourd, c'est presque au bout du monde (bis)
Et si la route est longue
Par les Envers, le Chanet,
Le chemin est parfait
Tout plat n'est-il pas vrai ?
Si vous ne craignez pas de vous casser les côtes (bis)
Pour aller vers les Côtes
Vous passez par le Tardy,
Le Thévenet aussi
Sur les bords de Montlit.
Et puisqu' est terminé notre petit voyage (bis)
Revenant au village,
Nous irons voir de plus près,
Saint Just et tout auprès
Croix Jaune et Pinfollet
Groupés près du Boidon, plusieurs fois centenaire (bis)
Amis il nous faut faire
Serment de toujours aimer,
Quoi qu'il puisse arriver
Notre bon vieux clocher.
LA CHANSON DE LONGESSAIGNE
chanson composée par le curé Dupin à l'occasion des représentations théâtrales des jeunes filles le dernier dimanche de novembre et le premier dimanche de décembre en 1952 ou 1953
Ensemble, amis, chantons notre beau Longessaigne (bis)
Chantons à perdre haleine
Ce pays que nous aimons
Blotti près d'un vallon
Là-haut dessus les monts
Un jour, si vous passez dans ce charmant village (bis)
Vous aimerez, je gage,
Son bourg comme ses hameaux
Epars sur nos coteaux
Voyez comme ils sont beaux !
Leurs noms sont si divers ! Voulez-vous les connaître (bis)
Noms de leurs anciens maîtres
Souvenir du bon vieux temps
Gardés depuis longtemps
Par nos braves gens
Le Canet, le Rocher, le Vire, la Flachère (bis)
Dressent dans la lumière
Dans leur vert écrin joli
L'orgueilleux Molagy
Dominant tout ici
La Paissé, le Filleul, conduisent à la Roche (bis)
Sans peur et sans reproches
Y vécurent autrefois
Les Seigneurs de l'endroit
Célèbres, justes, droits
De la Mure aux Auberges et à la Demi-Lune (bis)
Une halte opportune
Vous y peut désaltérer
Si vous êtes essoufflés
Après la dur'montée.
Caché dans son vallon, admirez l'Arquillère (bis)
Et tout près l'Ollivière
Il ferait si bon flâner
Et s'aller promener
Au milieu de leurs prés.
Les Combes, le Planud sont au pied de la Brosse (bis)
En un coin tout en bosses
Aimé des petits lapins
Folâtrant au matin
Tout près des grans sapins
Sauriez-vous trouver le Prou, la Mazalière (bis)
Ils sont si solitaires
Cachés par la GrandéMaison
Tout là-bas, tout au fond
Dans un calme profond
Bien vite, revenons au quartier de la Plaine (bis)
Une histoire incertaine
Prétend qu'ici se trouvait
Vers l'an mil, il paraît,
L'église et son clocher
Crêt-Midon, le Thuinard, le Parrier et les Combes (bis)
Le Verne dans sa Combe
Au soleil ou sous le vent
Sont des coins reposants
Là-bas vers Saint Clément.
De chez Goût au Suyer la vallée se prolonge (bis)
Et jusqu'à la Collonge
Par-dessous la Brigadée,
Il faut bien s'y veiller
Pour ne pas s'égarer
Ce n'est pas pour s'asseoir que nous avons la Chaize (bis)
Ni pour prendre des aises
Qu'on habite au Dalbeiron,
Ou encore au Drivon
N'est-c'pas ceux qui y sont ?
Pluie, neige, bise ou vent, jamais rien ne l'arrête (bis)
Quand souffle la tempête
Au chemin de Champcolan,
Mais quel que soit le temps
L'ont est toujours contents
Pour aller jusqu'au Sourd, c'est presque au bout du monde (bis)
Et si la route est longue
Par les Envers, le Chanet,
Le chemin est parfait
Tout plat n'est-il pas vrai ?
Si vous ne craignez pas de vous casser les côtes (bis)
Pour aller vers les Côtes
Vous passez par le Tardy,
Le Thévenet aussi
Sur les bords de Montlit.
Et puisqu' est terminé notre petit voyage (bis)
Revenant au village,
Nous irons voir de plus près,
Saint Just et tout auprès
Croix Jaune et Pinfollet
Groupés près du Boidon, plusieurs fois centenaire (bis)
Amis il nous faut faire
Serment de toujours aimer,
Quoi qu'il puisse arriver
Notre bon vieux clocher.
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